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31 octobre 2016

Article de presse dans Le Dauphiné Libéré

 

Retour sur les propos d'Alexandre Bolleau :

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"C'est un projet privé qui ne concerne pas la commune". Alors pourquoi ces entreprises privées sont invitées aux conseils municipaux ? (février et octobre 2016)

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"La municipalité n'est pas demandeuse d'une carrière". Soit, mais Alexandre Bolleau a quand même présenté ses conditions.

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Les retombées économiques : 

La municipalité refuserait 45 000 euros de redevance compensatoire versée par Perrin/Paillet, par an et pendant 20 ans ?

Car cette somme pourrait aider à rembourser l'emprunt de la rénovation du futur restaurant d'un montant

de 310 000 euros HT pour la partie restaurant seulement ! A suivre le chiffrage pour les chambres à l'étage...

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La totale transparence :

Les riverains de la Combe Noire ont vécu la carrière Perriol ! Ils ont de quoi raconter sur le non respect du cahier des charges.

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Tenir compte des "inconvénients" des riverains :
Les "inconvénients", cela en dit long sur la considération des habitants de cette partie du village.

Comme l'a dit l'une des élues lors du conseil municipal du 17 octobre : "On s'en fiche, cela ne nous concerne pas". Elle habite Olouise...

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"Ce projet était à prévoir dans cette région de carrières" :

Justement, cette région de carrières ne manque pas d'endroits où creuser loin des habitations.

Perrin prévoit d'agrandir la carrière d'Arandon...

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"Les agriculteurs vont percevoir de l'argent" :
Tous les autres propriétaires n'habitent pas sur la commune. Seulement trois habitent à Sermérieu !

Donc, ils vont percevoir un droit de fortage limité dans le temps sur la commune, alors que de nombreuses habitations seront irrémédiablement dévalorisées. 

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"Le projet va pénaliser 4 à 5 maisons" :

Alexandre Bolleau va devoir réviser la géographie de la commune dont il est le premier magistrat, car il y a beaucoup plus de demeures impactées.

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"La chambre d'hôtes a déjà une vue sur le tas de gravats de TPLRA" :

Si la commission municipale de surveillance de la carrière, LO PARVI, la DREAL, le Préfet avaient fait leur boulot correctement, ils auraient obligé TPLRA à ce que, depuis treize ans, les merlons soient couverts d'arbres cachant la vue de cette carie paysagère.

 

La  preuve est sous nos yeux que la "transparence" et la prise en compte des "inconvénients" pour les riverains sont des vœux pieux.

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